Article Santé
Optimisez votre santé
« J’aimerais que chacun comprenne qu’il ne peut compter que sur lui-même, qu’il est responsable de sa santé, et que le corps dont il dispose doit être géré comme n’importe quel autre bien qui lui serait confié… » – Docteur Catherine Kousmine
- Rester en pleine forme (ou la retrouver), quel que soit son âge,
- Retrouver et conserver un corps svelte, musclé, énergique ;
- Préserver la plénitude de toutes ses facultés physiques et intellectuelles ;
- Eviter et éloigner la menace de la plupart des maladies dites « dégénératives » ;
- Eliminer les excès de poids ;
- Rester dynamique et plein de joie de vivre ;
C’est (en principe) le souhait de tout le monde, et c’est à la portée de TOUS, (sauf quelques très rares exceptions)…
Pour autant que la personne concernée se donne la peine de faire l’effort indispensable de modifier son comportement alimentaire, d’éliminer ses mauvaises habitudes, et ait la constance de persévérer même si les résultats ne sont pas spectaculaires dés les premières semaines.
Mais les grandes règles de base sont incontournables et valables POUR TOUS, et dans tous les cas :
Tout d’abord, 4 grands principes, valables dans pratiquement toutes les situations :
1er principe : Ne jamais se dire : « je vais faire un régime ».
Surtout ne jamais commencer un programme quel qu’il soit, avec un sentiment de frustration, de punition ou de difficulté. Ne jamais penser que cela va être une « corvée », que l’on va faire un sacrifice, se priver d’une manière ponctuelle, pour essayer de perdre quelques kilos obsessionnels ou pour obtenir n’importe quel résultat que l’on souhaite, avec l’idée que cela va durer un temps et qu’ensuite on pourra reprendre toutes ses mauvaises habitudes.
Il ne faut jamais « faire un régime ». Il s’agit simplement…
2ème principe : de prendre la décision de vous occuper de vous, de vous faire plaisir.
Commencer n’importe quel programme de remise en forme, de contrôle de poids ou de prévention santé avec un sentiment de satisfaction et de plaisir :
Enfin !… Je vais enfin prendre le temps de m’occuper de moi, de mon bien-être, de ma forme et de ma santé pour les années à venir…
3ème principe : Être lucide, et regarder les choses en face.
N’attendez rien des gens qui vont vous plaindre ou vous flatter.
Si votre situation de santé ou votre POIDS n’est pas satisfaisant, il y a toujours des raisons, vous avez certainement fait des erreurs qu’il faudra corriger.
Ne cherchez pas « le thérapeute qui fait des miracles », ni « le produit miracle »… ça n’existe pas.
Il est totalement impossible de régler tous les problèmes d’un organisme qui fonctionne mal en quelques jours, par un coup de baguette magique, ni en n’intervenant que dans un seul domaine (nutritionnel, énergétique ou autre) mais par une prise de conscience de la totalité des points sur lesquels il faudra agir… sur lesquels VOUS devrez agir.
Les recommandations ci-dessous vous présentent les plus importants.
4ème principe : Sauf cas extrêmes, il n’existe pas de situation désespérée
Quels que soient votre âge, vos antécédents, votre état de santé actuel, il est TOUJOURS possible d’améliorer votre forme, votre silhouette, votre bien-être et votre joie de vivre.
Cette fabuleuse complexité qu’est l’être humain représente, à notre connaissance, l’aboutissement, la finalité de l’ensemble de la création.
L’entité « être humain », dans son intégralité, corps et ESPRIT indissociables, est une « machine » merveilleuse, la plus sophistiquée et la plus performante qui existe et qui possède d’insoupçonnables capacités d’auto-réparation, pour autant qu’on lui fournisse les matériaux, les outils (nutrition, style de vie), et les informations qui lui sont indispensables, et qu’on le soustrait autant que cela sera possible, aux nombreuses agressions qu’il subit quotidiennement (toxiques, ondes nocives, champs électromagnétiques, etc…)
Une véritable, sérieuse et complète « Stratégie pour une santé optimale » devra impérativement intégrer et agir sur les trois plans de l’être humain :
- Plan physique
- Plan énergétique
- Plan neuro-émotionnel
On comprend donc qu’il est illusoire de vouloir maintenir ou obtenir une santé parfaite et des performances optimum, en ne se souciant que de l’un ou de l’autre des différents éléments qui composent l’être humain, et en n’intervenant que dans un seul domaine.
C’est quoi le coaching santé ?
On a vu dans un précédent article que des essais cliniques étaient en cours pour le traitement de la maladie de Parkinson. Mais qu’en est-il de la maladie d’Alzheimer ?
La maladie d’Alzheimer, maladie neurodégénérative la plus importante dans le monde en termes de nombre de sujets malades, est la cause la plus commune de démence. Cette maladie complexe, qui se traduit par des pertes de mémoire, de la confusion et des autres d’humeur, touche les cellules nerveuses de plusieurs régions du cerveau, ce qui rend difficile la mise au point d’un éventuel traitement.
Les causes de la maladie d’Alzheimer sont relatives mal connues. On a toutefois isolé deux protéines appelées « bêta amyloïde » et « tau », que l’on trouve dans les régions lésées d’un cerveau atteint d’Alzheimer. Des agrégats de protéine bêta amyloïde forment des plaques qui pourraient empêcher les neurones d’envoyer correctement leurs signaux. Par ailleurs la formation d’enchevêtrements de protéine tau priverait les neurones de nutriments.
Comme beaucoup d’autres maladies neurodégénératives, il n’existe pas de traitement curatif de la maladie d’Alzheimer.
Les cellules souches
Les cellules souches constituent une piste de recherche dans le traitement de la maladie d’Alzheimer. Des greffes de cellules souches sur des souris ont déjà été pratiquées, et ont mis en évidence certains bénéfices. Mais la greffe de cellules souches dans le cas d’Alzheimer reste compliquée et soulèvent beaucoup de questions. Notamment sur le fait que la maladie touche beaucoup de régions du cerveau. Il n’est pas certain non plus que le cerveau soit capable d’intégrer parfaitement de nouveaux neurones. De plus, rien ne dit que les cellules greffées ne seraient pas, elles aussi, endommagées par les protéines bêta amyloïde et tau. Ainsi, une greffe ne pourrait avoir qu’un effet temporaire.
Une autre utilisation possible des cellules souche serait d’utiliser un certain type de cellules capables de libérer dans le cerveau des protéines dites neurotrophines. Dans un cerveau sain, ces protéines favorisent la croissance et la survie des neurones. Chez les patients atteints d’Alzheimer, la production de neurotrophines est faible. L’objectif est alors d’injecter des cellules souches neurales qui synthétisent et produisent les neurotrophines. Un test a été effectué sur des souris présentant des symptômes et des caractéristiques d’Alzheimer, et les scientifiques ont pu observer une amélioration de la mémoire. D’autres études sont en cours, mais aucun essai clinique n’a encore été effectué.
D’autres recherches portent sur l’utilisation des cellules souches pluripotentes induites (IPS) que l’on cultive en laboratoire à partir de cellules souches adultes ou embryonnaires. Des chercheurs ont prélevé des cellules de peau de sujets atteints de la maladie d’Alzheimer et les ont reprogrammées en IPS. Ils ont également mis au point une méthode permettant de produire des neurones à partir de ces IPS. Ces neurones libèrent les protéine bêta amyloïde qui, nous l’avons vu, forme des plaques dans le cerveau des malade. Cette méthode permet de mieux comprendre les mécanismes de formation des plaques et les enchevêtrement de tau.
Cette piste de recherche s’avère prometteuse car elle permet de mieux comprendre la maladie dont les causes semblent varier d’un patient à un autre. De nombreux scientifiques pensent d’ailleurs que cet angle de recherche amènera plus de réponses avant une généralisation de la transplantation de cellules souches.